Mauvaise nouvelle pour les bénéficiaires de la libération conditionnelle humanitaire : la Cour suprême confirme la révocation de la libération conditionnelle de plus de 500.000 XNUMX migrants.
La Cour suprême des États-Unis a donné le feu vert Ce vendredi, l'administration Donald Trump a appelé des centaines de milliers de migrants à annuler le statut de libération conditionnelle humanitaire qui leur a été accordé.
La décision affecte directement les Vénézuéliens, les Cubains, les Haïtiens et les Nicaraguayens qui ont été légalement admis dans le cadre du programme lancé par Joe Biden.
Exposés à une expulsion immédiate
Avec cette mesure, les protections temporaires accordées à plus de 530.000 XNUMX personnes sont abrogées, et elles pourraient désormais faire face à une procédure d’expulsion accélérée.
La décision suspend l'ordonnance de la juge fédérale Indira Talwani, qui avait temporairement bloqué la révocation du programme, jugeant que la loi exigeait une évaluation individuelle et non une annulation massive.
Seuls deux juges de l’aile progressiste, Ketanji Brown Jackson et Sonia Sotomayor, ont voté contre.
Le reste de la Cour a soutenu la demande urgente de l'administration républicaine, qui a qualifié les libérations conditionnelles de menace pour ses nouvelles politiques d'immigration.
Trump a ordonné l’annulation le jour même de son entrée en fonction.
Le 20 janvier, 2025Le premier jour de son second mandat, Trump a signé le décret visant à éliminer tous les programmes de libération conditionnelle humanitaire. L’une de ses priorités depuis qu’il a repris la présidence. En mars, le ministère de la Sécurité intérieure a officialisé la mesure, raccourcissant le permis de deux ans et suspendant les nouvelles admissions.
Le gouvernement soutient que l’élimination de la libération conditionnelle permettra à ces migrants d’être traités dans le cadre de procédures d’« expulsion accélérée », réduisant ainsi le nombre de personnes titulaires de permis temporaires aux États-Unis.
Biden avait fait pression pour obtenir une libération conditionnelle afin d'empêcher les traversées illégales
Depuis 2022, Joe Biden a mis en place un programme visant à offrir une voie légale aux migrants en provenance de pays à forte pression migratoire. D’abord aux Vénézuéliens, puis, en 2023, aux Cubains, aux Haïtiens et aux Nicaraguayens. En échange, ils devaient entrer par avion, passer des contrôles de sécurité et avoir un sponsor financier dans le pays.
L’administration Trump soutient cependant que ces programmes ont encouragé la migration de masse et ont submergé le système.
Réactions et avenir juridique
Les plaignants dans cette affaire – des bénéficiaires de libération conditionnelle et leurs parrains – ont affirmé devant la Cour qu’ils seraient séparés de leurs familles, qu’ils courraient des risques s’ils étaient renvoyés dans leur pays d’origine et que le gouvernement avait bloqué la résolution de leurs demandes d’asile.
Le ministère de la Justice, pour sa part, a fait valoir devant le tribunal que le maintien de l'ordonnance du juge Talwani porterait atteinte aux politiques d'immigration de l'administration. Approuvé par le vote populaire lors des dernières élections.
Maintenant que la décision autorise la révocation, des milliers de familles se retrouvent dans l’incertitude, sans protection juridique et sous la menace immédiate d’une expulsion vers des pays instables.
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commentaires 1
Qu’advient-il de ceux qui ont obtenu l’asile politique ?